Exemples par pays

Suisse

La Suisse possède l'un des toits verts les plus anciens d'Europe, créé en 1914 à la station d'épuration du lac Moos, Wollishofen, Zürich. Ses réservoirs filtrants ont 30,000 320,000 mètres carrés (15 6 pieds carrés) de toits plats en béton. Pour garder l'intérieur frais et empêcher la croissance bactérienne dans les lits de filtration, une couche drainante de gravier et une couche de terre de 6,000 cm (XNUMX po) ont été étalées sur les toits, qui avaient été imperméabilisés avec de l'asphalte. Une prairie développée à partir de graines déjà présentes dans le sol ; c'est maintenant un refuge pour de nombreuses espèces végétales, dont certaines sont maintenant éteintes dans le district, notamment XNUMX XNUMX Orchis est mort (orchidée à ailes vertes). Des exemples suisses plus récents peuvent être trouvés à Klinikum 1 et Klinikum 2, les hôpitaux cantonaux de Bâle et Sihlpost quai de la gare principale de Zurich.

Ce que l'on prétend être le premier jardin botanique à toit vert au monde a été créé à Augustenborg, une banlieue de Malmö, en mai 1999. L'International Green Roof Institute (IGRI) a ouvert ses portes au public en avril 2001 en tant que station de recherche et centre éducatif. (Il a depuis été rebaptisé Scandinavian Green Roof Institute (SGRI), compte tenu du nombre croissant d'organisations similaires dans le monde.) Les toits verts sont bien implantés à Malmö: le lotissement d'Augustenborg près du jardin botanique de SGRI intègre des toits verts et l'aménagement paysager étendu des ruisseaux, des étangs et des étangs entre les bâtiments pour faire face au ruissellement des eaux pluviales.

Le nouveau système d’ Bo01 développement résidentiel urbain (dans le Western Harbour (Western Harbour) à proximité du bureau Turning Torso et de l'immeuble, conçu par Santiago Calatrava) est construit sur le site d'anciens chantiers navals et des zones industrielles, et intègre de nombreux toits verts.

Allemagne

Les traditions de toit vert depuis longtemps tenues depuis l'industrialisation il y a des années sur 100 existent en Allemagne. Depuis les 1970, il existe aussi une industrie du toit vert dynamique. Codes du bâtiment développés par le Fachvereinigung Bauwerksbegrünung, ont existé depuis les 1980. Le numéro actuel a été publié dans 2008. Depuis les 1980, les réglementations d'atténuation environnementale ont contribué à pousser les toits verts afin de réduire l'empreinte écologique des bâtiments. Maintenant, environ 10,000,000 m² de nouveaux toits verts sont construits chaque année. À propos de 3 / 4, les derniers 1 / 4 sont des jardins sur le toit. Les deux villes les plus vertes d'Allemagne sont Berlin et Stuttgart. Des enquêtes sur l’état de la réglementation sont réalisées par la FBB (Fachvereinigung Bauwerksbegrünung = organisation allemande des technologies du bâtiment durable). Près d'un tiers des villes disposent de réglementations pour soutenir la technologie des toits verts et des eaux pluviales. Des instituts de recherche sur les toits verts en Allemagne sont situés dans plusieurs villes, notamment à Hanovre, Berlin, Geisenheim et Neubrandenburg.

Islande

On trouve fréquemment des toits de tourbe dans les fermes traditionnelles et les bâtiments agricoles en Islande.

Royaume Uni

Des exemples britanniques peuvent être trouvés à la bibliothèque de l'Université de Nottingham et à Londres au Horniman Museum et à Canary Wharf. L'Ethelred Estate, près de la Tamise dans le centre de Londres, est le plus grand projet de verdissement de toiture de la capitale britannique à ce jour. Toxteth à Liverpool est également candidat pour un projet majeur de verdissement de toiture.

Au Royaume-Uni, les toits verts sont souvent utilisés dans les agglomérations où les résidents et les travailleurs n'ont souvent pas accès aux jardins ou aux parcs locaux. Ils ont également été utilisés par des sociétés telles que Rolls-Royce Motor Cars, qui possèdent l'un des plus grands toits verts d'Europe (couvrant plus de 32,000m² pour aider leur usine de Goodwood, dans le West Sussex, à se fondre dans son environnement rural).

Canada

La ville de Toronto a approuvé un règlement municipal en mai 2009, imposant des toits verts sur les bâtiments résidentiels et industriels. Green Roofs for Healthy Cities critique le fait que les nouvelles lois ne sont pas assez strictes, car elles ne s’appliqueront qu’à des bâtiments résidentiels d’au moins six étages. Par 31 January 2011, les bâtiments industriels devront rendre 10% ou 2,000m² de leurs toits verts. À 2008, le Vancouver Convention Center a installé sur son bâtiment Ouest un toit de six acres de plantes et de plantes indigènes. toit au Canada.

France

En France, un immense toit vert d'environ 8,000 mètres carrés (86,000 sq ft) a été intégré au nouveau musée L'Historial de la Vendée qui a ouvert en juin 2006 aux Lucs-sur-Boulogne.

Grèce

Le ministère grec des Finances a maintenant installé un toit vert sur le Trésor de la place de la Constitution à Athènes. Le soi-disant «oikostegi» (grec - oiko, prononcé eeko, ce qui signifie bâtiment écologique, et stegi, prononcé staygee, signifiant toit-abri-abri) a été inauguré en septembre, 2008. Les études de la thermodynamique de la toiture en septembre 2008 ont conclu que les performances thermiques du bâtiment étaient significativement affectées par l'installation. Dans d'autres études, en août, 2009, des économies d'énergie de 50% ont été observées pour la climatisation dans le plancher directement sous l'installation. L'immeuble de dix étages dispose d'une superficie totale d'hectares 1.4. L'oikostegi couvre 650m², soit 52% de l'espace de toit et 8% de la surface totale. Malgré cela, des économies d’énergie totalisant € 5,630 par an ont été enregistrées, ce qui se traduit par une économie de 9% en climatisation et une économie de 4% en factures de chauffage pour l’ensemble du bâtiment. les oikostegi s'étaient améliorés au fur et à mesure de l'ajout de biomasse au cours des 12 mois entre la première et la deuxième étude. Cela suggère que d’autres améliorations seront observées à mesure que la biomasse augmente encore. L'étude indiquait également que, pendant les mesures effectuées par les caméras thermiques, une multitude d'insectes bénéfiques étaient observés sur le toit, tels que des papillons, des abeilles mellifères et des coccinelles. Evidemment, ce n'était pas le cas avant l'installation. Enfin, l’étude suggère que les oikostegi ont amélioré le microclimat et la biodiversité de la place de la Constitution, à Athènes, en Grèce.

Égypte

En Egypte, l'agriculture sans sol est utilisée pour faire pousser des plantes sur les toits des bâtiments. Aucun sol n'est placé directement sur le toit même, éliminant ainsi la nécessité d'une couche isolante; au lieu de cela, les plantes sont cultivées sur des tables en bois. Les légumes et les fruits sont les candidats les plus populaires, fournissant une source de nourriture fraîche et saine, exempte de pesticides.

Une méthode plus avancée (aquaponique), utilisée expérimentalement en Egypte, consiste à cultiver des poissons à proximité de plantes en cycle fermé. Cela permet aux plantes de bénéficier de l'ammoniac excrété par les poissons, ce qui aide les plantes à se développer et élimine la nécessité de changer l'eau pour les poissons, car les plantes aident à maintenir la propreté en absorbant l'ammoniac. Les poissons reçoivent également des nutriments des racines des plantes.

États-Unis

L'une des plus grandes étendues de toiture verte étendue se trouve aux États-Unis, à l'usine River Rouge de Ford Motor Company, Dearborn, Michigan, où 42,000 mètres carrés (450,000 pieds carrés) de toits d'usines d'assemblage sont recouverts de sedum et d'autres plantes, conçu par William McDonough. Construit au-dessus du Millennium Park Garage, le 24.5 acres de Chicago (99,000 m²) Millennium Park est considéré comme l'un des plus grands toits verts intensifs. Parmi les autres exemples américains bien connus, citons l'hôtel de ville de Chicago et le siège de Gap à San Bruno, en Californie. Récemment, l'American Society of Landscape Architects a modernisé son siège social existant à Washington, DC, avec un toit vert conçu par l'architecte paysagiste Michael Van Valkenburgh.

Un autre exemple de toit vert aux États-Unis est la bibliothèque Ballard à Seattle. L'architecte paysagiste était Swift & Co. et l'architecte du bâtiment Bohlin Cywinski Jackson. Ce toit vert compte plus de 18,000 XNUMX plantes pour aider à l'isolation et réduire le ruissellement. Les plantes utilisées sur le toit comprennent Achillea tomentosa (millefeuille laineux), Armeria Maritima (rose des mers, économe de mer), Carex inops pensylvanica (carex long-stolonés), Eriophyllum lanatum (Soleil de l'Oregon), Festuca rubra (fétuque rampante rouge), Festuca idahoensis (Fétuque d'Idaho), Phlox subulata (phlox rampant), Saxifraga caespitosa (saxifrage touffeté), Sedum oreganum (Orpin d'Oregon), Album Sedum (Orpin blanc), Sedum spurium (orpin à deux rangs), Sisyrinchium idahoense (herbe aux yeux bleus), Thymus serpyllum (thym sauvage), Triteleia hyacinthina (l'oignon du fou).

Le nouveau bâtiment de l'Académie des sciences de Californie dans le Golden Gate Park de San Francisco a un toit vert qui fournit 2.5 acres (10,000 m²) de végétation indigène conçue comme habitat pour les espèces indigènes, y compris le papillon damier de la baie, menacé. Selon la fiche d'information de l'Académie sur le bâtiment, le bâtiment consomme 30 à 35% moins d'énergie que ce qui est requis par le code.

Un bâtiment au toit vert (achevé en 1971) est le 358,000 sq ft (33,300 m²) Bâtiment du siège social de Weyerhaeuser à Federal Way, Washington. Son système de toit de bureau de 5 étages comprend une série de terrasses en retrait couvertes de verdure. Depuis les airs, le bâtiment se fond dans le paysage.

Le premier toit vert de New York a été installé dans le centre de Manhattan, au sommet du centre de traitement et de distribution Morgan du service postal des États-Unis. Construction sur les 109,000 pieds carrés (10,100 m²) Le projet a débuté en septembre 2008 et a été achevé et consacré en juillet à 2009. Couvert de végétation indigène et ayant une durée de vie prévue de cinquante ans, ce toit vert permettra non seulement d’économiser environ US $ XNX par an en coûts de chauffage et de climatisation, mais aussi de réduire considérablement la quantité de contaminants des eaux pluviales dans le réseau d’eau municipal.

Australie

Les toits verts ont gagné en popularité en Australie au cours des 10 dernières années. Parmi les premiers exemples, citons la tour résidentielle Freshwater Place à Melbourne (2002) avec son toit de niveau 10 Half Acre Garden, bâtiment CH2 abritant le Melbourne City Council (2006) - le premier immeuble de bureaux commerciaux 6 étoiles Green Star Design d'Australie certifié par le Green Building Council of Australia, et Condor Tower (2005) avec une pelouse de 75 mètres carrés au 4e étage.

Dans 2010, le plus grand projet de toit vert australien a été annoncé. Le projet de dessalement victorien aura une «tapisserie vivante» de plantes indigènes australiennes 98,000 sur une surface de toit couvrant plus de 26,000 mètres carrés. Le toit fera partie du système de toiture sophistiqué de l’usine de dessalement, conçu pour intégrer le bâtiment dans le paysage, offrir une protection acoustique, une résistance à la corrosion, un contrôle thermique et une maintenance réduite. Le toit vert sera installé par Fytogreen Australia.

Depuis que les conseils municipaux de 2008 et les groupes d’affaires influents en Australie sont devenus actifs pour promouvoir les avantages des toits verts. "The Blueprint to Green Roof Melbourne" est un programme géré par le Comité pour Melbourne.